197. Rosier, M. [Joseph-Bernard]. La mansarde du crime, comédie
en un acte, mêlée de chant. Représentée
pour la première fois à Paris, sur le théâtre
du Vaudeville, le 4 novembre 1840. Collection La France dramatique
au 19e siècle. Paris : Tresse, Delloye, 1841, 14 p.
Distribution de la Pièce
AMILCAR - M. Arnal
LE CHEVALIER AGAMEMNON - M. Amant
BOULARD - M. Ballard
LOUISE, femme d’Amilcar - Mme Balthazar
Un Commissaire de Police - M. Camiade
Deux Commissionnaires - M. Ferdinand, M.
Berthaut
Quelques gardes nationaux
Plusieurs figures de cire représentant : un grand
seigneur, en habit noir à la française, le
ruban rouge au cou, le crachat au côté; un
gendarme; un Robert-Macaire avec un emplâtre sur l’œil,
comme le personnage de l’auberge des Adrets; un sauvage
avec coiffure et ceinture de plumes polycolores; un tourlouru,
une bonne d’enfant; un chevalier français du
moyen âge; un brigand napolitan, le poignard à la
ceinture; un juge abec robe et toque; un villageois avec
des habits très gais et très propres. Toutes
ces figures doivent être réjouissantes, celle
surtout du villageois : ele doit être la plus fraîche,
la plus épanouie, la plus joufflue de toutes. Cette
dernière figure joue le rôle de la victime.
La scène se passe à Paris, au cinquième étage
d’une maison sans portier.
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